• Guantanamera....

    Psychedelic Pointer

    Très professionnel, ce chanteur belge d’origine espagnole et installé depuis peu à Cap-d’Agde, serait le seul à pouvoir se permettre d’afficher le label  Julio Iglésias, étant  d’ailleurs le seul à qui le célèbre chanteur a donné son aval lors d’une rencontre que Fernando n’est pas prêt d’oublier.

    Fernando précise :

    _ " Ma mère adorait Julio Iglesias et logiquement je reprenais ses chansons, souligne le jeune homme.

     Et puis un jour je me suis dit :

    _  " Pourquoi pas moi ? ".

    L’enregistrement d’une maquette, que sa mère crut être de Julio, sonna le début du parcours de Fernando.

     

    De l'ambiance avec la vidéo agréable, surprenante, qui j'espère amènera un peu de gaité.

     

     

    *******

    Finaliste en 2002 d’un concours d’imitation à la télé belge, troisième au championnat d’Europe d’imitation de 2002 et voilà Fernando parti pour une carrière qui l’amène à voyager tous les week-ends, sans oublier les croisières.

    Fernando sait y faire pour envoûter le public.

    Une rose offerte, des chansons interprétées au milieu des tables ou sur la piste de danse, des échanges avec le public, tous les ingrédients sont réunis pour que le concert, d’une douzaine de titres, apparaisse trop court.

    Mais cela ne serait rien si l’interprète n’avait pas cette voix exceptionnelle qui, vous persuade que c’est Julio en personne qui chante !...

    résumé du journal régional auquel j'ai rajouté quelques phrases

     

     

    Guantanamera....

     

     

     

    Guantanamera, ma ville guantanamera.

    Guantanamera, ma ville guantanamera.

    C'était un homme en déroute.

    C'était son frère sans doute.

    Il n'avait ni lieu, ni place.

    Et sur les routes de l'exil.

    Sur les sentiers, sur les places.

    Il s'en allait loin de sa ville.

    Guantanamera, ma ville guantanamera.

    Guantanamera, ma ville guantanamera.

    Là-bas sa maison de misère.

    Était plus blanche que le coton.

    Les rues de sable et de terre.

    Sentaient le rhum et le melon.

    Sous leur jupon de dentelles.

    Dieu que les femmes étaient belles.

    Guantanamera, ma ville guantanamera.

    Guantanamera, ma ville guantanamera.

    Il me reste toute la terre.

    Mais je n'en demandais pas tant.

    Quand j'ai passé la frontière.

    Il n'y avait rien devant.

    J'allais d'escale en escale.

    Loin de ma terre natale...

     

    Guantanamera....

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